Émilie, 40 ans, et la nécessité d’écrire pour retrouver sa tête humaine Émilie avait grandement connu faire bouille. À quarante ans, elle avait déjà traversé deux licenciements, une bord, une maladie courte mais brutale. Elle était de celles qu’on qualifie de “solides”. Celles qui s’adaptent. Qui prennent en déposition. https://mylesikkhg.blogerus.com/57946267/voyance-par-mail