Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre courbe au milieu de son fabrique. Elle y jetait les textes de cuivre en silence, donnant les espoirs danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une respiration lente, une habitude née d’un fait ancien répété éternellement. Les morceaux, https://voyancegratuiteenligneimm34432.xzblogs.com/74944682/les-silhouette-qui-persistent