Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre arrondie en plein coeur de son atelier. Elle y jetait les articles de cuivre en vacarme, donnant les desiderata danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un routine. C’était une aspiration lente, une penchant née d’un fait familial répété constamment. https://charliebpxch.shoutmyblog.com/33375232/les-contours-calmés