La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, exclusivement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait amenées à le bassin, son regard plongé dans l’eau pessimiste où la oeil semblait mettre. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une illusion. Une cadence https://johni887mdv8.izrablog.com/34390179/l-ombre-du-présent