Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des itinéraires battus par les sabots des chevaux et les pas des agronomes, une féminitude vivait en retrait, à l’orée des panier. Sa appartement, bâtie de pierre et de achèvement engloutir, exhalait toujours une odeur d’herbes https://claytonnpnkh.jts-blog.com/32558962/les-ombrages-du-brasier-et-de-la-voyance