Dans la luminosité diffuse d’une ajour teintée de rose, les contrées des contes de fées s’éveillaient avec la délicatesse propre aux intrigues médiévales. Les plaines brumeuses, où la aiguail perlait sur tout brin d’herbe, dissimulaient mille visionnaires que seuls les femmes sensibles pouvaient déceler. Au bout de ce quatrième chapitre, https://walterx219kxj2.blogacep.com/profile